Le massacre continue
Zu’kak survolait le champ de bataille avec plaisir. Sa cape, transformée en ailes de chauves-souris, lui permettait de voler, comme les dragons. Il regarda avec satisfaction ses squelettes prendre le dessus des Vurmankas et des Drak’hels. Le feu rageait et détruisait les bâtistes blanches, le sang ornait les rues et, sans rois pour les guider, les pathétiques éleveurs était confus et ils étaient aussi performants que des blattes contre son armée. Seuls les dragons ennemis lui causaient un petit désagrément.
Les dragons envoyaient les os des squelettes revoler un peu partout, se qui prenait plus de temps au séparés de rassemblés leurs os.
Le damné vu que Zéphir se défendait bien contre d’autres dragons et guerriers ; pas de problème ici. Par contre, il vit Kinara s’écrouler du dos de Dokral, une épée plantée dans le dos. Il constata, avec joie, le dragon rouge se déchaîner contre ceux qui avaient tué sa maîtresse.
Savourant d’avance sa victoire, il décida de faire un peu d’exercice. Il plongea au cœur de Gora.
***
Pavori vit, malgré la noirceur, une ombre survoler sa ville, le champ de bataille, puis plonger vers le centre-ville. Il ordonna à Duraka de la suivre, même si Sadahell lui dit de rester avec lui. Craignant sa sécurité, Sadahell le suivit.
***
Zu’kak creva l’œil d’un dragon avec son pieu qu’il avait récupéré de la dépouille de Karkara, repoussa un guerrier avec son aile et déchira au travers de l’armure d’un autre avec ses griffes. Le damné lui sauta dessus, et, avec ses bras inférieur, déchira les entrailles en riant comme un dément. Il prit le cœur encore battant de son adversaire et le dévora. La langue pendante de sang chaud, il lâcha un cri. Zu’kak venait d’apercevoir deux dragons plonger du ciel vers lui. Il nu pas besoin d’analyser leurs cœurs pour savoir qu’ils venaient pour lui, et qu’ils étaient des guerriers d’élite. Il s’envola donc vers le premier, un dragon dont le visage de l’éleveur lui était étrangement familier.
Duraka s’arrêta en vol, voyant l’ombre quitter le sol pour se diriger vers eux.
< Pavori! Il vient vers nous! >
L’ombre hésita un moment en sifflant :
« Pavori… »
Puis il lança son pieu en direction du dragon vert. Duraka l’évita agilement, mais le pieu continua sa course et atterrit dans le cou de Kopar. Le dragon tomba comme une pierre, emportant son maître. Riant de bonheur, le damné vit du coin de l’œil Duraka qui chargeait, fou de rage.
C’était au tour de Zu’kak d’éviter l’attaque. Il s’accrocha au passage à la jambe arrière du dragon, qu’il laboura et morda sans pitié. Quand elle ne fut quand lambeau de chair pendante, le damné grimpa vers l’aile. Il essaya d’éviter Pavori, mais celui-ci le poussa violemment. Reprenant de l’altitude, Zu’kak réalisa que Pavori lui parlait :
« Si tu es si fort, viens donc te battre contre moi dans un combat corps-à-corps. »
« J’accepte. » dit l’ombre avant de plonger vers un endroit dégagé, mais que les armées pourraient quand même voir la bataille.
Quand Pavori et son dragon atterrirent à leurs tour, Zu’kak ordonna à Duraka de reculer. Alors, des colonnes de feu noir s’élèveraient autour d’eux, désignant les limites de l’arène.
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